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29 décembre 2006

l'immobilier sur plan avec abonim.com


Un nouveau service gratuit de cartographie des biens immobiliers est proposé par le site immobilier http://www.abonim.com/.
Cette présentation innovante des annonces immobilières, réalisée grâce à la technologie Google MapsTM, permet de visualiser l'emplacement des maisons et des appartements directement sur un plan.
Très simple d’utilisation, ce service est un bijou de simplicité

Pour consulter les petites annonces immobilières de vente ou de location de votre choix, il suffit de cliquer sur la ville de votre choix et de zoomer si nécessaire.

On devient vite accro à cette présentation et pour les annonceurs qui le souhaitent, il est possible de laisser l'adresse exacte du bien. L’annonce apparaît alors avec un plan du quartier.

Pour essayer cette nouvelle technologie, rendez-vous sur http://www.abonim.com/map/

02 février 2006

Immobilier : Résultats de l'enquête Abonim sur les agents immobiliers

Vous avez été 1152 à répondre à notre sondage entre le 3 novembre 2005 et le 12 décembre 2005.
Il apparaît que 85% d’entre vous ont déjà fait appel aux services d’agences immobilières. Pour quels services ?

65% ont acheté

45% ont vendu

17% ont loué

7% ont fait louer
C’est dire la complémentarité des agences avec le marché des « particuliers » qui ne passent pas par les agences !

Globalement le ressenti sur les agents immobiliers est partagé. 56% des personnes interrogées pensent qu’ils connaissent bien leur métier, tandis que 44% pensent au contraire qu’ils ne le connaissent pas bien.
D’une manière générale, le métier d’agent n’est pas perçu positivement puisque vous êtes 49% à penser qu’ils sont là pour prendre leur commission au passage.
Ils sont 72% à penser que c’est l’agence qui gagne le plus d’argent dans une transaction (Notaire : 28%).
Toutefois 36% pensent que leur mission est le conseil aux particuliers
Vous pensez en majorité (59%) que c’est en passant par la filière « particuliers » que l’on fait les meilleures affaires.
24% pensent que c’est par le biais des notaires et 16% par celui des agences…
Toutefois le marché semble être dans les mains des agences puisque vous êtes 64% à penser que c’est les agences qui réalisent le plus d’affaires (Notaire 19%, sites internet 10%, marchands de bien 4%.).
Les agences en réseau sont préférées à 23%, les agences de quartier à 21% mais d’une manière générale, l’appartenance ou non à un réseau n’est pas un élément déterminant pour les répondants car vous êtes 59% à penser que cela ne fait aucune différence !
Il reste que les agences sont plutôt bien vue par les vendeurs puisque 66% d’entre eux accepteraient de donner mandat à une agence pour faire la transaction, tandis que 34% d’irréductibles, passeraient par la filière « particuliers ».
Dans le cas de la location, la partialité des agences est perçue ainsi : 35% répondent qu’elles sont plutôt du côté des propriétaires, 3% plutôt du coté des locataires et 60% d’aucun côté en particulier…
Pour en savoir plus sur des points obscurs de l’immobilier, 51% choisiraient d’aller voir un avocat ou un notaire, 28% préféreraient visiter des sites internet et surfer sur les forums, 15% se tourneraient vers un agent immobilier et 11% iraient demander conseil à la FNAIM.
La Fédération Nationale des Agences Immobilières à un taux de notoriété parmi les répondants de 67%.
C’est d’ailleurs la FNAIM qui est en tête des citations lorsque l’on demande aux répondants de citer 3 réseaux d’agences.
Le 2ème est ORPI et le 3ème Century 21.
Il apparaît dans la question de savoir pourquoi certaines personnes préfèrent passer par la filière particulier plutôt que les agences que c’est tout d’abord le montant de la commission, jugé excessif, qui est un facteur déterminant, vient ensuite le contact direct et la possibilité de discuter avec l’intéressé, créant ainsi une expérience intéressante à vivre.
Nous avons décidé de ne pas publier dans cette analyse les anecdotes que les internautes nous ont envoyées car elles ne reflètent pas une tendance générale mais un ressenti particulier.
Toutefois, elles reflètent certains dysfonctionnements ponctuels que les agences pourraient corriger afin d’améliorer la qualité globale de leur services et de leur image auprès des particuliers.

16 janvier 2006

L'OPCI, un nouvel outil investi en immobilier

es banques vont créer de nouveaux produits d'épargne baptisés organismes de placement collectif dans l'immobilier (OPCI). Leur cadre juridique et fiscal a été défini par l'ordonnance du 13 octobre 2005 mais il manque encore des décrets d'application ainsi que le règlement élaboré par l'Autorité des marchés financiers.


Inspirés du modèle des sicav et des fonds communs de placement (FCP), les OPCI sont destinés au grand public. Leur mise en oeuvre suscite de nombreuses questions, notamment dans les sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) existantes : d'ici à quatre ans, celles-ci devront se transformer en OPCI ou bien disparaître. A partir du 31 décembre 2009, les SCPI ne pourront ainsi plus procéder à la moindre augmentation de capital, ce qui les condamne. Les SCPI offrent pourtant des performances globales proches des 10 %, y compris en 2005, et 2006 s'annonce aussi sous de bons auspices.

Les OPCI sont censés corriger les défauts majeurs des SCPI : rigidité dans la gestion, manque de liquidité et régime fiscal inadapté. Leurs gestionnaires auront plus de liberté de manoeuvre : ils pourront acheter des immeubles en direct ou des parts de sociétés à prépondérance immobilière, emprunter à concurrence de 50 % de leur patrimoine, lancer des opérations de promotion et de réhabilitation et, surtout, compléter leur portefeuille de valeurs mobilières liées ou non à l'immobilier.


RÉGIME FISCAL OPTIMAL


"Cette marge de manoeuvre nous permettra de proposer toute une gamme de produits, du très sécuritaire, axé sur l'immobilier, au très dynamique mais plus risqué, avec un fort endettement et des actions de foncières, ou encore des produits ciblant des zones géographiques ou des immeubles spécialisés comme les hôpitaux et pourquoi pas les prisons, comme cela se fait aux Etats- Unis", indique Jean-Marc Coly, directeur de l'Union financière de gestion.

Pour assurer une meilleure liquidité, les OPCI devront conserver au moins 10 % (et jusqu'à 40 %) de trésorerie destinée à racheter les parts des souscripteurs souhaitant sortir et récupérer leur épargne. En cas de crise immobilière, ce matelas de trésorerie serait insuffisant, comme l'a montré, en Allemagne, la déconfiture du fonds de la Deutsche Bank, obligé de bloquer les retraits et de brader des immeubles au pire moment. "Immobilier et liquidité sont incompatibles", affirme Benoît Faure-Jarrosson, analyste chez Fideuram Wargny.

Sur le plan fiscal, le régime des OPCI est optimal puisqu'il propose deux types de véhicules avec chacun son régime. Le fonds de placement immobilier détiendra 60 % d'immeubles, et les sommes distribuées seront imposées comme des revenus fonciers. La société de placement à prépondérance immobilière à capital variable détiendra 51 % d'immeubles et jusqu'à 30 % de parts de sociétés foncières cotées, lui apportant liquidité et flexibilité.

Les premiers OPCI devraient voir le jour au second semestre, même si plusieurs banques, comme l'UFG (Crédit mutuel) ou Antin Vendôme (BNP Paribas) ont récemment créé des SCPI vouées à muter en OPCI.

source: lemonde.fr

10 janvier 2006

Un nouveau code d'éthique pour la Féderation Nationale des Agents Immobiliers

En plein essor, la profession d'agent immobilier s'inquiète néanmoins de la crise du logement et des discriminations que subissent parfois les candidats locataires. La Fnaim a profité de son congrès, en décembre 2005, pour signer une convention avec la Halde et publier un code d'éthique et de déontologie.
Quand il y a des grues partout, l'ensemble des professions et des professionnels vont mieux ». A sa manière, Jean-Louis Borloo décline le vieux slogan : «quand le bâtiment va, tout va». Devant la Fédération nationale des agents immobiliers (Fnaim) réunie en congrès à Paris, les 12 et 13 décembre, le ministre de l'Emploi, de la Cohésion sociale et surtout, en l'espèce, du Logement, se félicite du boom de la construction : «cette année, on a battu le record avec plus de 400 000 logements alors que la France n'en construisait que 270 000, il y a sept ans». Cet essor, qui profite aux agents immobiliers, est le bienvenu car «la crise du logement est d'une gravité exceptionnelle en France. Elle est scandaleuse compte tenu de la richesse du pays et de la taille du territoire», assure le ministre. Les agents immobiliers, habituellement prompts à se réjouir de la santé de leur profession, ne peuvent ignorer la situation. «Beaucoup trop de nos concitoyens rencontrent des difficultés à trouver un toit», reconnaît René Pallincourt, président de la Fnaim. Pour autant, ajoute-t-il aussitôt, dans une allusion à la décision de certaines municipalités d'exercer leur droit de préemption lorsque le montant des ventes dépasse une limite, il ne faut pas céder aux «mesures dirigistes, comme le blocage des loyers ou l'interdiction de vendre».
Il n'existe qu'un seul marché du logement, estiment les agents immobiliers, et non un marché de la vente opposé au marché locatif, ou un secteur privé soumis aux évolutions des prix et un marché social immobile. «Les difficultés du logement social rejaillissent sur le privé», assure René Pallincourt, qui plaide pour la «fluidité» du marché. Ainsi, le développement de l'accession à la propriété est-il «une excellente chose» pour la profession car il permet «de sortir les personnes les plus solvables du marché de la location». Par ailleurs, poursuit-il, «si le parc social conserve des locataires devenus solvables pour le privé, cela se fait au détriment de candidats locataires connaissant, eux, de réelles difficultés».
Les agents immobiliers savent que lorsque le marché connaît des tensions, ils ne sont pas forcément aimés du grand public. «Quand il y a une crise, on cherche un bouc-émissaire», résume Jean-Louis Borloo.

Les agents immobiliers, «bouc-émissaire»

René Pallincourt se défend : «60% des bailleurs privés sont des personnes physiques n'ayant qu'un seul logement en location», explique-t-il. De ce fait, «l'impayé est pour eux une menace grave» qui «conduit à une sélection bien trop stricte des locataires, sélection que l'on reproche ensuite à tort aux propriétaires ou à leurs mandataires». De son point de vue, ce n'est donc pas de la faute des agents immobiliers si les candidats locataires sont soumis à des exigences grandissantes de la part des bailleurs.
Les agents immobiliers ont néanmoins décidé de faire des efforts. Eric Hanot, rapporteur d'un atelier du congrès consacré à l'accueil dans les agences, rappelle à ses confrères qu'«il faut être heureux quand un client pousse la porte, s'adresser sincèrement à lui et pas seulement identifier des honoraires». Surtout, la Fnaim profite de son congrès pour dévoiler son tout nouveau «code d'éthique et de déontologie» voté par la Fédération «à l'unanimité moins une voix».
Le document, qui oblige tous les adhérents de la Fnaim, contient quelques principes attendus, comme le «respect de l'honorabilité de la profession et de ses règles éthiques», la «confidentialité» ou «l'implication des collaborateurs». Mais c'est surtout le principe de non discrimination, inscrit dans ce code, que les professionnels tiennent à mettre en avant. Alors que sa conception avait commencé au printemps 2004, le code est rendu public à point nommé, quelques semaines après que les violences urbaines ont rappelé de manière criante l'existence de discriminations ethniques. «Jamais je n'aurais pensé que l'actualité nous serve avec autant d'abondance», confie René Pallincourt.
La profession profite également de son congrès pour annoncer la signature d'une «convention» avec la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). La Fnaim s'engage ainsi à sensibiliser ses adhérents, à organiser des séances de formation et à définir des «bonnes pratiques» destinées à «éviter les comportements discriminatoires».
Quant au code d'éthique, il précise que, fidèle «à la loi et à la réglementation», l'agent Fnaim «n'applique jamais de discrimination vis-à-vis des personnes physiques en raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille», etc. Le document en soi ne constitue pas une révolution. «Je pensais qu'il existait déjà», affirment d'ailleurs plusieurs agents immobiliers invités à témoigner devant leurs confrères.
Olivier RAZEMON
source: echos-judiciaires.com

09 janvier 2006

Les Français s'enrichissent grâce à l'immobilier

conjoncture Fin 2003, le patrimoine national français était constitué pour deux tiers par les logements et terrains et pour un quart de machines et équipements.

L'IMMOBILIER a considérablement enrichi les Français ces dix dernières années. Entre 1995 et 2003, le prix des logements a augmenté de 80%. Et comme l'immobilier constitue presque les trois quarts de ce que possèdent les ménages, leur patrimoine a augmenté de 82% sur la période, selon les chiffres publiés hier par l'Insee. Ajoutée à cela la multiplication par 2,5 du cours des actions sur la même période, leur patrimoine atteint au total 6 351 milliards d'euros. Il «représente désormais plus de six années de revenu disponible brut, contre 4,5 années sur la période 1995-1997», relève l'Institut de la statistique.


De plus en plus d'assujettis à l'ISF
Cette évolution a logiquement coïncidé avec «une augmentation du nombre de ménages payant l'impôt de solidarité sur la fortune» (ISF), qui atteignait presque 300 000 foyers fin 2003, soit 70% de plus qu'en 1995.

Les Français détiennent désormais 77% du patrimoine national. Ce dernier s'élevait fin 2003 à 8 244 milliards d'euros – «plus de cinq années de produit intérieur brut» français –, soit une augmentation de 73% entre 1995 et 2003, alors que le PIB ne progressait que de 33%. Les trois quarts de cette hausse s'expliquent par l'augmentation de la valeur des terrains bâtis et des logements. Les terrains représentent 35% du patrimoine national, les logements 32% et les autres bâtiments et ouvrages de travaux publics 17%, le reste étant constitué par les machines et équipements, les stocks et les actifs incorporels (brevets, fonds de commerce...). Si les ménages détiennent l'essentiel des logements, les sociétés ont les machines et les équipements. Le patrimoine des sociétés non financières s'élevait à 1 220 milliards en 2003 (14,8% du patrimoine national), celui des sociétés financières à 365 milliards (4,4%).


Le patrimoine des administrations publiques est, quant à lui, évalué à 308 milliards, soit 3,7% du patrimoine national. Les administrations publiques locales détiennent essentiellement des actifs non financiers tandis que les administrations publiques centrales détiennent majoritairement des actifs financiers.

source:lefigaro.fr

03 janvier 2006

GB : prix de l'immobilier en hausse de 3% en 2005

Selon la banque de crédit immobilier Nationwide, les prix de l'immobilier en Grande-Bretagne sont en hausse de 0.5% pour ce mois de décembre. Ainsi, sur l'ensemble de 2005, ils sont en progression de 3%, ce qui représente le taux le plus bas constaté depuis ces dix dernières années. Cela montre un brutal ralentissement par rapport à la croissance de 12.7% des prix enregistrée en 2004. Par ailleurs, ces chiffres traduisent aussi une certaine stabilité du marché compte tenu des 2.4% obtenus en novembre.
Cette année écoulée semble être la plus faible pour le marché britannique de l'immobilier, et ce depuis 1985, date à laquelle les prix avaient baissé de 2.5%.
Concernant le coût moyen d'achat d'un logement en Grande-Bretagne, il est en hausse de 13 livres par jour cette année à 157.250 livres pour le mois de décembre contre une progression de 50 livres par jour un an auparavant
Nationwide a ajouté prévoir pour 2006 une évolution des prix comprise entre 0 et 3%.
Fionnuala Earley, économiste chez Nationwide a déclaré que "s'il y a actuellement des incertitudes sur l'économie, nous pensons toujours que la prochaine décision sur les taux d'intérêt sera de les baisser, et que cela interviendra probablement début 2006". "Mais si le marché a réagi plutôt rapidement à la réduction des taux en août, nous ne nous attendons pas à ce qu'une baisse fasse repartir l'inflation annuelle des prix de l'immobilier jusqu'aux niveaux observés début 2005".
(© 2005 AG Presse)

31 décembre 2005

acquéreurs de biens immobiliers, Bercy prépare le prêt hypothécaire rechargeable

Les candidats au crédit immobilier ou à la consommation le savent bien : mieux vaut avoir un emploi stable, des rentrées financières régulières dès lors qu'on s'adresse à son banquier pour lui demander un prêt. Bercy est décidé à casser ce système. La réforme, initiée par Nicolas Sarkozy en 2004, en partie inspirée du modèle anglo-saxon, est prévue pour aboutir «fin mars» au Conseil des ministres précise-t-on à Bercy, sous la forme d'une ordonnance. Dans le futur, les acquéreurs de biens immobiliers se verront proposer par leurs banquiers un «prêt hypothécaire rechargeable». De quoi s'agit-il ? D'un système qui permettra non seulement de mettre son bien en hypothèque pour obtenir un crédit immobilier, mais aussi d'augmenter sa capacité d'endettement à mesure que le crédit est remboursé. Cette capacité d'emprunt pourra être utilisée pour acquérir un nouveau bien immobilier, ou n'importe quel bien à la consommation. Jusqu'ici, le ménage endetté devait attendre d'avoir remboursé l'entièreté de son crédit avant de pouvoir utiliser son bien immobilier comme un gage pour déclencher un nouveau crédit. «Ce système va permettre aux personnes qui ne bénéficient pas de revenus réguliers de pouvoir s'endetter», dit-on à Bercy.

Mais pas question d'adopter à l'identique le système qui domine le crédit aux Etats-Unis ou outre-Manche. Là-bas, les ménages peuvent s'endetter d'autant plus que s'apprécie la valeur de leur bien immobilier. Un effet levier appréciable lorsque les prix montent, mais redoutable lorsqu'ils déclinent.

Outre le prêt hypothécaire rechargeable, le gouvernement proposera aussi le «prêt viager hypothécaire». Un système qui permettra à un propriétaire d'un bien immobilier d'en tirer de l'argent sans pour autant avoir à le vendre. La banque se remboursera après son décès, et versera le solde aux héritiers, s'il en reste...

source : liberation.fr